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Je ne sais pas comment décrire ce texte : absurde ? Bizarre ? En fait on a vraiment l’impression d’être dans un de ces rêves étranges où les choses apparaissent et disparaissent d’un coup, où des événements sans queues ni têtes arrivent, et où la logique est une chose qui n’existe tout simplement pas.  Ce conte nous fait carrément perdre la tête ! Il est loufoque !

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Heureusement que le livre est très petit (une centaine de pages) sinon j’aurais surement abandonné ma lecture en cours de route. Je n’aime pas faire ça habituellement (je ne l’ai fait que pour le Rouge et le Noir de Stendhal), mais il faut dire que ce livre-ci est vraiment très spécial, et je ne l’ai pas du tout aimé. Je connais les différentes adaptations cinématographiques (Walt Disney, Tim Burton), qui d’ailleurs m’ont laissé de marbre, je savais donc que le livre allait être assez étrange, mais c’était pire que ce que je croyais ! Je ne m’attendais pas à autant de bizarreries.

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Je ne pense pas non plus avoir perdu mon temps (la lecture n’a duré qu’une heure et demi) car Alice au pays des merveilles se classe tout de même parmi les classiques à lire, je suis donc assez fière de l’avoir fait.

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Quant aux personnages… Ils me sont TOUS sortis par les yeux : je n’arrivais pas à comprendre leur manière de réagir. Ils étaient vexés pour tout et n’importe quoi et s’emportaient très facilement. J’ai trouvé Alice aussi imbuvable que le reste des personnages. Elle a un petit côté bourgeois et hautain insupportable qui m’a mis les nerfs à vif.

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Je ne vais pas m’attarder plus longtemps sur ce livre car comme vous l’aurez surement deviné, je ne l’apprécie pas trop (c’est un euphémisme). Je sais que beaucoup de monde a aimé ce livre et je sais aussi que l’histoire veut dire beaucoup plus de choses qu’il n’y parait mais bon que voulez-vous, je n’y arrive pas. Je recommande tout de même de le lire au moins une fois dans sa vie, car c’est un classique, certes décalé, mais important à connaitre.

Résumé :

Par un jour d’été 1862, sur les berges de la Tamise, un jeune professeur d’Oxford, poète et mathématicien, improvise un conte pour distraire les trois fillettes d’un de ses amis. Charles Dogson, alias Lewis Carroll, est en train d’improviser Alice au pays des merveilles. 

Assise au bord de la rivière, Alice s’ennuyait un peu quand soudain, venu de nulle part, surgit un lapin blanc pressé de regagner son terrier. N’hésitant pas à le suivre, Alice pénètre dans un monde de prodiges et de menaces qui n’est autre que le royaume de l’enfance. Et voici le chat de Cheshire à l’étrange sourire, la terrible Reine de cœur, le Chapelier fou et le Lièvre de Mars, la Fausse Tortue et le Valet-Poisson…

Un siècle et demi plus tard, ce monde enfantin et absurde, surréel et symbolique, est resté le nôtre.

  • Alice au Pays des Merveilles ; Lewis Carroll

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